Traduction en differentes langues

DES MILLIERS DE CADEAUX TIMBRES D'OR SONT ENVOYES A VOUS TOUS CHERS AMIS LECTEURS PAR LE PERE NOEL

DES MILLIERS DE CADEAUX TIMBRES D'OR  SONT ENVOYES A VOUS TOUS CHERS AMIS LECTEURS PAR LE PERE NOEL
"DES MILLIERS DE CADEAUX TIMBRES D'OR SONT ENVOYES A VOUS TOUS CHERS AMIS LECTEURS PAR LE PERE NOEL. "PERE NOEL A LU BEAUCOUP DE NOS OUVRAGES! QUAND EST-IL DE VOUS? VOS CADEAUX SE RETROUVENT SUR WWW.UNIBOOK.COM ET WWW.THEBOOKEDITION.COM. A VOTRE TOUR DE BIEN LES SAISIR EN DECOUVRANT ET LISANT NOS OUVRAGES SUR CES DITS SITES MENTIONNES...

samedi 3 mai 2014

JE NE SUIS PLUS MORMON....


La semaine dernière soit le 28 Avril 2014 un potentat du Mormonisme en Haïti m’a contacté au téléphone, (Président de La Mission d’Haïti à Port-au-Prince). Très surpris de cet appel téléphonique, je vous relate ici ma réponse en 6 textes messages téléphoniques à lui au lendemain qui suit l’appel et le dialogue.

En voici :
Monsieur Le Président de la Mission d’Haïti à Port-au-Prince, Je suis Yrvin Lauriston. Dans le souci de vous faciliter la tâche et de ne pas vous laisser perdre votre temps, je vous dis que vous aviez frappé à la mauvaise porte en pensant à me contacter au téléphone. 

Franchement, si je savais que c’était le Président de la Mission d’Haïti, je ne vous retournerais pas l’appel. Je tiens à vous dire que je ne suis pas mormon et je ne le suis plus et je ne le serai jamais pour le restant de ma vie même dans l’au-delà. Je suis par nature un homme de parole, de principe et de conviction c’est ce qui fait ma personne.

Ça fait plus que 11 ans que je me suis renoncé catégoriquement et intégralement au mormonisme et cela se tiendra jusqu’au bout. Entre moi et le mormonisme, il n’y a pas de lien ni de relation.

Pour votre connaissance, j’ai été au centre de formation de Provo Utah (MTC Provo, Utah, USA ensuite dans la mission de Louisiana Bâton Rouge et la Nouvelle Orléans en 2003 et j’ai dû l’abandonner vu que tous mes droits, ma dignité, mon intégrité et mes propriétés privées ont été violés, assassinés et atteints par les mormons, et j’e risquais même de perdre ma vie si je n’abandonnais pas à tel point que même mes deux mallettes contenant mes bagages que j’apportais avec moi se retrouvent jusqu’à présent dans la mission de Louisiana Bâton Rouge malgré tous les efforts que j’ai employés pour que le Président de la Mission en Louisiane à l’époque Président Thomas Dale Borgquist et sa femme Leslie Raek me les retournent, ils ont dit oui, mais rien n’a pas été fait ca fait plus que 10 ans. 

Pensez-vous que je puisse même une seconde pénétrer le sein du mormonisme en dépit de tout ? Même pour le bon visage de Jésus-Christ-noir que vous projette comme un blanc raciste je ne le ferais pas.

Monsieur le Président de la Mission d’Haïti,  je vous signale que je suis un catholique né et baptisé de naissance et rebaptisé à l’âge de 8 ans du mormonisme  grâce à l’injustice de la providence et du destin de l’enfance. Mais si j’aurais à choisir maintenant à l’âge raisonnable, je choisirais le catholicisme. Je vous dis également si le mormonisme était Dieu, je choisirais le diable en louer place du mormonisme, si le mormonisme était le chemin du paradis, je choisirais l’enfer. Pour aucune chose au monde je ne choisirais le mormonisme.

Le mormonisme ne peut amener lui-même au paradis voire les autres. J’ai étudié, observé et suivi le mormonisme de près et à la lettre, et je suis mieux place que quiconque pour présenter le mormonisme sous ses vraies joues, et j’ai découvert  qu’il projette un masque de bienveillance, de bienfaisance et de faux-semblants pour tromper, duper les gens à venir mais au fond il cache astucieusement et audacieusement sa vraie face de putain mensongère, l’église du mensonge, de farce, d’assassins, tueur à gage, de criminel, de mauvais chrétiens et d’inhumains.

Les discours et les paroles des mormons ne respectent et ne reflètent pas leurs actes.  Entre leurs actes, leurs paroles et discours, il existe une véritable cacophonie et dichotomie.

Je ne suis pas d’humeur à accepter et à gober les inacceptables, les farces, les mensonges, les violations et abus des droits humains et d’autorités auxquels les mormons ne sont pas exempts et sont monnaies courantes.

L’histoire du mormonisme enseignée aux membres est bourrée, entichée et enchevêtrée de farces, de mensonges inventées de toute pièce et de toute sorte dans le nom précieux de Dieu et de Jésus-Christ. N’oubliez pas que le père du mensonge est le diable  et que Dieu n’est pas un Dieu de mensonge, de cachotterie, de ruse, d’astuce et d’audace. Dieu a dit : « Tu ne mentiras point ». Il n’a pas dit et relaté dans quelle circonstance qu’il faut mentir pour amener des gens à lui, celui qui le fait est agent du diable, celui qui ment pour tenir des gens à Dieu est agent du diable. Dieu a dit qu’il n’a pas voulu forcer des gens, des esprits à venir à lui ; celui qui le fait est du diable.
Mr. Le Président, les mormons sont des assassins, des criminels, des violateurs des droits des gens ; ils ont violé, assassiné, vilipendé ma vie, mes droits, ma dignité, mon intégrité, et j’ai failli perdre ma vie entre les mains des faux frères blancs mormons. 

Ils m’ont humilié et m’ont fait subir les pires choses au monde à la dernière dimension. Je réserve à eux une humiliation de telle sorte. J’ai réservé une toux avec du crachat pour envoyer aux visages qui auraient l’intention de me faire du chantage pour retourner au vomissement du mormonisme, j’espère que ce ne sera pas vous qui payerez le pot-casé innocemment comme ils m’en ont fait payer innocemment et naïvement aussi. « Lagè avèti pa touye kokobe dit-on toujours ». 

Je vous demande, de ce fait, de rayer, retirer, d’enlever mon nom tout entier de vos registres et de ne pas envoyer qui que ce soit du mormonisme pour me contacter sous aucun prétexte, pas même vous.

E si les mormons n’enlevaient pas déjà mon nom, c’est le signe qu’ils ne sont pas des hommes parce que je renonce devant Dieu et devant les anges célestes de ne plus faire partie du mormonisme. Je ne réserve aucun dialogue avec qui que ce soit du mormonisme. Dites à votre prétendu fieffé prophète autoproclamé menteur que je méconnais sa prétendue autorité sur moi.

Ma communication avec Dieu est personnelle et intime, personne n’a reçu le droit  d’y intervenir en intermédiaire. « Mieux vaut s’adresser à Dieu qu’à ses saints. » Je crois en Dieu, hélas je ne crois pas en ses hommes. Votre prétendu prophète ne peut pas amener lui-même au paradis voire les autres. Il va être jugé comme tout le monde des ses actes.
Je ne suis pas cobaye et je ne le serai jamais. J’y renonce. Je ne crois pas comme vous dans les bobards du mormonisme qu’elle est la seule vraie église de Jésus-Christ sur cette terre. Seuls les fous croiraient en de telle sottise. Je vous dis que même 10 millions de dollars US ne peut pas me faire retourner au mormonisme voire pour rien, même l’argent ne peut pas me faire marcher.

Enfin, je ne suis pas d’humeur à marcher sous les dictas et les auto-programmes robots et les ruses audacieux des gens coquins, mesquins, vipérins et menteurs. Je vis selon ma conscience et elle est ma seule juge. Je ne serai jamais l’esclave des prétendus parvenus mormons. Je suis libre et  totalement libre enfin.

Les mormons ont façonné le personnage qui vous parle, j’en ai beau apprendre.
Prière de me rayer dans vos registres et d’envoyer la rayure dans les instances de votre église, Merci d’avance de le faire.

POUR L'HISTOIRE ET POUR LA VÉRITÉ: LEÇONS DE VIE...CHRONIQUE DU MORMONISME...

Leçons d’une vie ! Pour l’histoire et pour la vérité : Mémoire d’une vie…
Je suis un catholique né baptisé à l’enfance et rebaptisé du mormonisme dès l’âge de 8ans. Je ne suis plus Mormon aujourd’hui, a fait déjà 11 ans et je ne le serai jamais encore. Je suis un homme de parole, de principe et de conviction. C’est ce qui fait la grandeur d’un homme. Un vrai homme a seulement deux mots : Oui et Non. 

Quand il dit oui ou non, il le respecte même au péril de sa vie. Je n’ai pas la manie de ramper ni d’être pris au cobaye et au grand jamais je ne saurais être un cobaye, un filou, un fanatique ni un fripon.

Le secte mormonisme ou prétendu autoproclamé : « Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours (LDS) ou pour dire mieux « Eglise satanique déguisée audacieusement et astucieusement sous la couverture du nom de Jésus-Christ pour tromper et duper même les mieux instruits et formés via un autoprogramme ou une chaine invisible pour contrôler les esprits ne saurait me tenir personnellement sous ses jougs et ruses, puisque mon esprit n’est pas rétrogradé mais il est très éveillé, aucun programme malicieux ne saurait tenir le coup définitivement. Je sais voir même au-delà du voile et de la perception.

Majorité des Mormons sont des fous-croyants zombifiés vu que le mormonisme projette un masque invisible de bienfaisance, de bonté, d’amour et d’humanisme pour tromper, duper, séduire et induire à l’erreur. Ce dit fameux masque projeté par la religion mormone pour cacher sa vraie face de putain mensongère, ne cesse de fortifier la croyance à l’aveuglette et abusive de ses zélés membres fanatiques croyant qu’elle est la seule vraie Eglise de Jésus-Christ sur  cette planète et qu’elle possède le monopole de la vérité, la vérité absolue comme cela s’est enseignée à tous les membres. Quelle absurdité ! Quelle aberration ! Quelle folie incongrue ! Car, au 21e siècle, le siècle de toutes les grandes découvertes, personne ne peut oser prétendre ostentatoirement qu’il détienne toute la vérité absolue, seuls les fous de Saint-Antoine auraient pu avancer une telle maladie de croyance incurable. Il ressemble que cela est commune, triviale et monnaie courante chez les fanatiques du mormonisme. 

Ils prétendent avoir  toute la vérité, toute la plénitude de l’évangile du Christ et que leur religion (Mormone) est la seule vraie Église de Jésus-Christ sur cette terre et que Jésus-Christ viendra chercher l’Église Mormone à son retour. Cette croyance faramineuse se trouve incarnée dans le cerveau psychopathique et dans la mentalité hors du commun de tous les membres de cette dite Eglise même les mieux instruits et formés malgré toutes les évidences que l’histoire réelle de celle-ci (LDS-Mormone) se trouve cachée, truffée, bourrée de mensonges, de montages et de fausses représentations…

Comment une secte qui prétend détenir le monopole de la vérité, prêcher la vérité absolue et que sa vraie histoire est totalement différente et est archi-fausse que ce qu’elle prêche à ses membres adhérents. Le mormonisme détient une fieffée philosophie rusée pour duper.

Elle fait croire aux membres que leur religion(mormone) a un prophète vivant et 12 apôtres choisis par Jésus-Christ lui-même et remplacé à chaque fois qu’un soit mort qui est en communication perpétuelle et permanence avec Dieu et Jésus-Christ lui dictant comment diriger l’Église et reçoit des révélations de leur part pour le monde et pour l’Église mormone. Si c’est bien le cas, quand est-ce que Jésus-Christ demandera à ces fameux arrogants fieffés menteurs prophètes et apôtres de cesser de mentir sur l’histoire de cette Église puisqu’on est convaincu que le père du Mensonge est le Diable, et que le mensonge ne viendrait jamais de Dieu. 

« Le Dieu vrai est un Dieu de vérité, et jamais un Dieu de mensonge, de cachoterie et de ruse. « Les dix commandements affirment : « Tu ne mentiras point » Il ne fait pas objection en quelle situation qu’il faut mentir au nom de Dieu pour rentrer des gens à l’Église en cachant la vraie histoire de l’Église. C’est tout un robot programme…

-Pour découvrir la vraie image de pute du mormonisme : l’Église du mensonge, c’est de lui enlever son masque de « mardi-gras » qu’il projette astucieusement et audacieusement pour dissimuler, camoufler  et tromper.
-Le spectacle le plus affreux, passionnant et amusant que j’ai eu avec certains mormons pratiquants d’il y a quelque jours dans une conversation franche et ouverte puisqu’eux-mêmes ils sont toujours motivés pour réactiver les membres non-pratiquants ce qu’ils font très bien ; cependant s’ils avaient ce même enthousiaste et engouement quand on devient membre et même dans les processus d’entraide et de soutien, ils seraient les meilleurs au monde.

Mais dommage que leur engouement dans la réactivation n’est pas le même dans les relations humaines et dans les rapports d’entraide. Au cours de la conversation, je leur ai dit en prenant une position que « Je ne suis plus mormon et que je ne le serai jamais encore ». Ils m’on répliqué (wap janm pa mormon ! en créole que je traduirais en français : « Tu seras toujours mormon ». Ceci a été très plaisant, amusant et meme choquant de l’entendre de leurs lèvres avec un sourire assurant et convaincant, mais cela parait bizarre pour moi puisque cela fait déjà plus que 11 ans que je me suis renoncé catégoriquement et intégralement à cette putain Église mensongère et que je m’y fous jamais les pieds.

Un d’eux m’a dit ensuite qu’il attend à ce grand jour où il serait sur le bâton que je retournerais à cette dite Église dont moi-même je déteste au plus haut degré, et que je découvrais magistralement que cette Église est véritablement celle du Diable via mes expériences vécues et convaincues que j’en ai choisi de ne plus foutre mes pieds depuis plus que 11 ans. (http://ylauriston.blogspot.com )
D’où leur est venue cette confiance convaincue que j’y reviendrais ? Le mormonisme leur enseigne et incarne un mythe qu’est la suivante : « Quand on est mormon, on l’est pour la vie durant même si on est dysfonctionnel ou non-pratiquant, on y reviendrait tôt ou tard un jour même sur le bâton de la vieillesse ». En voyant leur assurance et leur confiance en ce, j’ai dit en moi-même qu’ils méconnaissent tous absolument, « ils ne me connaissent pas »(yo pa konnenm’ byen ), connaissant qu’ils savaient que j’étais comme eux innocent-croyant à cette philosophie religieuse absolument incongrue, aberrante et mensongère à la quelle ils s’incarnent, ils pensent que je suis toujours le même personnage naïf et innocent de jadis même en étant hors de cette Église d’il y a 11 ans.

-C’est incroyable ! Mais ce que je leur dirais que je me suis évolué, je me suis changé, je suis expérimenté, j’en ai beaucoup appris et découvert. L’expérience, l’observation, l’intuition, l’âge, le temps, l’heure et les leçons que m’enseignent la vie m’ont façonné l’esprit, l’image, mon cerveau, ma conscience,  ma conviction, mes croyances, mes sentiments, mes perceptions, ma raison, en un mot toute ma personnalité entière. Je ne suis plus une personne qui se repose sous la bonne foi d’autrui ni je ne laisserai jamais à personne de penser, de réfléchir, d’imaginer en ma place.

Je leur dirais qu’ils sont tous trompés de bonne foi. S’ils sont restés inchangés pendant 11ans,  quant à moi qui étudie, qui observe, qui pense, qui imagine, réfléchis, qui questionne, analyse et qui voyage un peu, je ne suis plus le même, je suis changé, transformé, je ne suis plus celui qui se laissait séduire et tromper par le destin de l’enfance par cette fameuse orageuse philosophie mensongère qui contrôle, programme l’esprit et la mentalité des autres en les tenant dans l’innocence et dans la naïveté…

Je leur dirais à haute et intelligible voix que je me suis évolué en tout point de vue, que le retour merveilleux qu’ils attendaient tous même sur leur bâton de vieillesse n’aura jamais lieu. Comme la foi fait vivre, ils peuvent continuer à attendre comme ils attendent le retour imprévu de Jésus-Christ oubliant qu’il y a plus de 2000 ans que les disciples du Christ attendaient son retour, mais maintenant ils sont tous au tombeau et n’ont pas pu encore voir ce retour et des générations se sont passées et ce retour se recule de jour en jour à nos yeux et à notre temps.  (http://rosveltsdpi -clubpromozoom1.blogspot.com )

-J’ai laissé pour toujours ce chapeau et manteau du mensonge et de la tromperie à ceux ou celles qui sont plus aptes à croire aux sottises, aux bêtises, aux ruses et astuces du mormonisme.
-Je ne suis pas d’humeur à apprécier, accepter, gober et encourager les inacceptables, les inhumains, les violations des droits humains, les abus d’autorité, les farces et les bobards…C’est indigne de moi et ma conscience ne les savoure pas bien. Je crois en Dieu, hélas je ne crois pas en ses hommes. Comme dit le dicton : »Mieux vaut adresser à Dieu qu’à ses saints, les saints peuvent vous barrer la route. L’homme naturel est l’ennemi de Dieu. Ma communion avec Dieu est intime, personne n’a le droit d’y intervenir en intermédiaire, c’est d’ordre purement personnel….

-Je suis un homme de vérité et que je n’ai de partie que pour la vérité et non pas aux dogmes des fameux psychopathes astucieux du mormonisme. Mon esprit n’est pas forcené, aliéné, je suis libre et libre enfin. Je ne suis pas et je ne serai jamais l’esclave  des autoprogrammes et chaines invisibles mis en place audacieusement par des mormons vipérins, mesquins, coquins, filous et menteurs dans le nom de Dieu. Dieu les voit-il ? Croient-ils que Dieu les entend et les regarde ? Peut-être ils changeraient déjà leurs attitudes de mentir au nom de Dieu en vue de sauver leurs propres âmes du vice de l’hypocrisie, du mensonge, de l’avarice et de la cupidité.  (Le fanatisme est la plus mauvaise des sottises humaines, il est responsable de tous les bains de sang qui ont inondé la planète terre tout entière (fanatisme religieux), il est un malingre incurable, je l’ai été une fois mais cela m’aurait  couté la vie. J’ai dû l’abandonner aux plus entêtés imbéciles de caractères plats et serviles, car je ne suis pas idiot au premier degré).

-Le Dieu vrai de l’univers qui ne fait acceptation de personne, noir ou blanc, jaune ou rouge, m’a donné le cerveau et le subconscient pour réfléchir, penser, imaginer, créer, inventer et le cœur pour sonder, questionner, et apprécier, l’œil pour percevoir, observer et la conscience pour mon juge absolu et ultime. Personne noir ou blanc ne peut m’enlever ces fameux dons, cadeaux, facultés, pouvoirs par une certaine artifice et ruse humaine que ce soit.  (http://ylauriston2.blogspot.com )

Encore une fois, je ne suis pas aliéné et  forcené du mormonisme et je le serai jamais bien qu’il contribue dans le mauvais sens à tarir ce que l’univers m’a laissé de bonté de cœur, d’amour et d’humanisme….Je suis libre enfin.

Chacun a le droit de croire au mormonisme ou de ne pas croire. Vous, les mormons, vous avez le droit de continuer à croire dans vos mensonges, sottises et ruses, quant à moi j’ai ce même fameux droit de n’y pas croire.

-Il faut dire que je parle en connaissance de cause car j’ai été au sein de la machine de la mafia religieuse de l’Église Mormone en Louisiana Baton Rouge et même à Provo Utah(USA) étudiant et observant le mormonisme de près, à la lettre, de file en aiguille et que je suis mieux placé que quiconque de présenter le mormonisme sous ses vrais angles et joues. Car, il m’en a laissé que de tristes souvenirs et de cicatrices pour avoir atteint à mon intégrité, ma dignité, violé mes droits, ma confiance et mes propriétés privées. Mais ce que je retire de tout cela, c’est que ces méfaits ont contribué dans le sens du bien à façonner mon caractère et me montrer le monde et la vie sous des parfaites angles. Les difficultés de la vie sont en effet pour nous apprendre bien des leçons vitales. Heureux soit celui qui les rencontre et malheureux soit celui qui ne les rencontre pas car sans celles-là il n’apprendra et ne connaitra rien de la vie…..

-Je laisse cette mémoire vitale pour l’histoire et pour la vérité. Mais aussi a’ ceux qui veulent bien l’entendre et la lire et tirer les points forts de celle-ci.                                                          ( http://sdpi-zooming.blogspot.com )

-A noter que j’en’ ai pas l’intention de choquer, de nuire qui que ce soit, je relate mes points de vue. Je suis totalement libre de faire valoir et passer mes idées, et vous êtes libres de ne pas être d’accord avec moi, c’est votre droit le plus entier et le plus ultime. Mais n’oubliez pas aussi mon droit tout en respectant le vôtre.

-Je suis libre, totalement libre, c’est mon point le plus fort.
-« Personne ne peut connaitre la vérité réelle (puisqu’il y a plusieurs vérités sous ce ciel bleu), que lorsqu’un jour on arrive à  comprendre et découvrir manifestement que tout ce qu’on croyait était faux et archi-faux, c’est alors même que l’on connaîtra la vérité et que l’on sera réellement libre. La vérité vous affranchira, n’a-t-on pas dit, c’est toujours un changement de cap. La vie est un tâtonnement permanent dans le mensonge qui débutera sur une vérité subite et inattendue. Leçon de la sagesse. « Le fanatisme est la plus mauvaise des sottises humaines, il est un malingre incurable, je l’ai été une fois mais cela m’aurait coûté la vie. J’ai dû l’abandonner car je ne suis pas idiot au premier degré « (http://sdpi-zooming.blogspot.com  )

LES CAILLOUX: MOTIVATIONS POSITIVES. PAGE 70-100 EXTRAIT

Steve Jobs était-il un copieur ou un génie?
On a beaucoup écrit sur Steve Jobs depuis son décès.
Il y a d'un côté ceux qui ont porté aux nues son génie, de l'autre ceux qui disent qu'il n'a rien inventé.

Il est vrai que le t
éléphone portable, le lecteur de MP3 et la tablette existaient avant Steve Jobs.

Mais ceux qui le critiquent et le traitent de copieur n'ont rien compris 
à la créativité.

La cr
éativité n'est pas faire surgir de nulle part un concept nouveau, mais de COMBINER des éléments anciens pour créer du nouveau.

Mon père était inventeur.  A la maison, lui seul avait de droit d'être créatif. Ma mère et moi le regardions donc comme un pur génie qui avait des idées venues de son inspiration.

Le r
ésultat ? La créativité me semblait être un don réservé à certains, auquel je n'avais pas droit.

Puis, adolescent, je suis tomb
é sur des livres qui dévoilaient la source créative des idées de mon père. Et j'ai brusquement compris les associations d'idées, le processus créatif, l'incroyable capacité que nous avons tous de penser hors des sentiers battus en associant des idées venues d'univers différents.

Steve Jobs savait cela. Quand on lui a pr
ésenté le prototype de l'Ipad, il a demandé  "Mais ne pourrait-on pas en faire une version réduite, qui tiendrait dans la poche et serait aussi un téléphone ?"

L'Iphone venait de na
ître, qui reculât la sortie de l'Ipad de quelques années mais a eu le succès que l'on sait.
Steve Jobs était un vrai génie créatif. Il combinait les idées de manière originale, s'affranchissait des idées reçues, traçait son propre chemin.

·                   Son exemple nous montre la voie. Il a exploré son monde intérieur en allant en Inde, puis en devenant pratiquant zen. De là son amour de la simplicité et de l'essentiel.

Sa connaissance des 
états supérieurs de la conscience, de la méditation, lui ont ouvert les portes d'une connaissance intuitive qui a changé le monde.

Steve Jobs n'
était pas un saint, loin de là. Il se garait toujours sur les parkings réservés aux handicapés, a nié être le père de sa première fille, s'est
souvent comport
é comme un tyran... mais c'était un homme exceptionnel qui nous a montré combien savoir vendre est important, combien la simplicité peut être source de profit, à quel point harmoniser ses deux hémisphères cérébraux peut être important.

C'
était un artiste, un passionné de musique et de photo, un esthète qui a créé du beau et a introduit la typographie dans le monde de l'informatique, mais aussi un cartésien qui a pensé juste, bâti des stratégies payantes, réussi matériellement au-delà de tout ce qui semblait possible.

Il  n'a pas reconnu sa fille 
à sa naissance - mais a donné son nom à son premier ordinateur, le Lisa.

Il se parquait sur les parkings r
éservés aux handicapés, mais nous a permis, nous handicapés de l'informatique, d'accéder aux logiciels bien plus simplement et facilement, nous donnant ainsi le sentiment de la maîtrise.

Il 
était un tyran, mais a donné du travail à 40.000 personnes et a changé
la vie de millions.

Contre vents et mar
ées, il a tracé SA voie, et nous conseille de trouver et de
suivre la n
ôtre.

« Vivons nos passions et ne laissons pas les autres enterrer nos r
êves. »
Message que Steve Jobs a laissé pour vous amis lecteurs de ce bouquin

Le message que Steve Jobs a laissé pour vous sur la vie, la mort et les raisons de son succès.

C'est un honneur de me trouver parmi vous aujourd'hui et d'assister 
à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du monde.

Je n'ai jamais termin
é mes études supérieures. A dire vrai, je n'ai même
jamais 
été témoin d'une remise de diplômes dans une université.

Je veux vous faire partager aujourd'hui trois exp
ériences qui ont marqué ma carrière. C'est tout. Rien d'extraordinaire. Juste 3 expériences.

Pourquoi j'ai eu raison de laisser tomber l'universit
é ?

La premi
ère concerne les incidences imprévues. J'ai abandonné mes études au Reed Collège au bout de six mois, mais j'y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement.

Pourquoi n'ai-je pas poursuivi ?
Tout a commenc
é avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeuneétudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs.

Elle tenait 
à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et
tout avait 
été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu'ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d'attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit :

Nous avons un petit gar
çon qui n'était pas prévu. Le voulez-vous ?
Ils répondirent : Bien sûr.

Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n'avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n'avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d'adoption et ne s'y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j'irais à l'université.

17 ans plus tard, j'entrais donc 
à l'université.

Mais j'avais na
ïvement choisi un établissement presque aussi cher que
Stanford, et toutes les 
économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité.

Au bout de 6 mois, je n'en voyais toujours pas la justification. Je n'avais aucune id
ée de ce que je voulais faire dans la vie et je n'imaginais pas comment l'université pouvait m'aider à trouver ma voie. J'étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant.

Je d
écidai donc de laisser tomber.

Une d
écision plutôt risquée, mais rétrospectivement c'est un des meilleurs
choix que j'aie jamais faits. D
ès le moment où je renonçais, j'abandonnais
les mati
ères obligatoires qui m'ennuyaient pour suivre les cours qui m'intéressaient.

Tout n'était pas rose. Je n'avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à
 m
ême le sol chez des amis.

Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour r
écupérer le dépôt de 5
cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilom
ètres à pied pour traverser la ville et m'offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal.

Et ce que je d
écouvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se
r
évéla inestimable à l'avenir.
Laissez-moi vous donner un exemple :

le Reed Collège dispensait probablement alors le meilleur enseignement de typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque 
étiquette sur chaque tiroir était parfaitement calligraphiée.

Parce que je n'avais pas à suivre de cours obligatoire, je décidai de
m'inscrire en classe de calligraphie.

C'est ainsi que j'appris tout ce qui concernait l'empattement des caract
ères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d'une typographie. C'était un art ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science.
J'
étais fasciné.

Rien de tout cela n'était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie.
Pourtant, 10 ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh, cet acquis me revint. Et nous l'incorpor
âmes dans le Mac.

Ce fut le premier ordinateur dot
é d'une typographie élégante. Si je n'avais pas suivi ces cours à l'université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels.

Et comme Windows s'est born
é à copier le Mac, il est probable qu'aucun
ordinateur personnel n'en disposerait.
Si je n'avais pas laiss
é tomber mes études à l'université, je n'aurais
jamais appris la calligraphie, et les ordinateurs personnels n'auraient peut-
être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j'étais à l'université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.

On ne peut prévoir l'incidence qu'auront certains évènements dans le futur ; c'est après coup seulement qu'apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu'ils joueront un rôle dans votre avenir. L'essentiel est
de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours march
é pour moi, et elle a régi ma vie.

Pourquoi mon d
épart forcé d'Apple fut salutaire ?

Ma deuxi
ème histoire concerne la passion et l'échec. J'ai eu la chance
d'aimer tr
ès tôt ce que je faisais.

J'avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple N.D.L.R.] et moi avons cr
éé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, 10 ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d'affaires atteignait 2 milliards de
dollars. Nous venions de lancer un an plus t
ôt notre plus belle création, le
Macintosh, et je venais d'avoir 30 ans.

C'est alors que je fus vir
é.

Comment peut-on vous virer d'une soci
été que vous avez créée ? C'est bien simple, Apple ayant pris de l'importance, nous avons engagé quelqu'un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l'entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien.

Puis nos visions ont diverg
é, et nous nous sommes brouillés. Le conseil
d'administration s'est rang
é de son côté. C'est ainsi qu'à 30 ans je me suis
retrouv
é sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d'être de ma vie
n'existait plus. J'
étais en miettes.

Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J'avais l'impression d'avoir trahi la g
énération qui m'avait précédé
  - d'avoir laiss
é tomber le témoin au moment où on me le passait. C'était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley.

Puis j'ai peu 
à peu compris une chose
- j'aimais toujours ce que je faisais.
Ce qui m'
était arrivé chez Apple n'y changeait rien. J'avais été éconduit,
 mais j'
étais toujours amoureux. J'ai alors décidé de repartir de zéro.

 Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon d
épart forcé d'Apple fut salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l'une des périodes les plus créatives de ma vie.

Pendant les 5 ann
ées qui suivirent, j'ai créé une société appelée NeXT et
une autre appel
ée Pixar, et je suis tombé amoureux d'une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse.

Pixar, qui allait bient
ôt produire le premier film d'animation en trois
dimensions, Toy Story, est aujourd'hui la premi
ère entreprise mondiale
utilisant cette technique. Par un remarquable concours de circonstances,
Apple a achet
é NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd'hui la clé de la renaissance
d'Apple.

Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.

Tout cela ne serait pas arrivé si je n'avais pas été viré d'Apple.

La potion fut horriblement am
ère, mais je suppose que le patient en avait
besoin.

Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas
abattre. Je suis convaincu que c'est mon amour pour ce que je faisais qui m'a permis de continuer.

Il faut savoir d
écouvrir ce que l'on aime et qui l'on aime. Le travail occupe
une grande partie de l'existence, et la seule mani
ère d'être pleinement satisfait est d'apprécier ce que l'on fait.

Sinon, continuez 
à chercher. Ne baissez pas les bras. C'est comme en
amour, vous saurez quand vous aurez trouv
é. Et toute relation réussie
s'am
éliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu'à ce que vous
trouviez.

Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie 
?

Ma troisi
ème histoire concerne la mort. A l'âge de 17 ans, j'ai lu une citation qui disait à peu près ceci :

« Si vous vivez chaque jour comme s'il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. »

Elle m'est restée en mémoire et, depuis, pendant les 33 années écoulées, je me suis regardé dans la glace le matin en me disant :

« Si aujourd'hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j'aimerais faire
ce que je vais faire tout 
à l'heure ? « 

Et si la r
éponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j'ai besoin de changement.

Avoir en t
ête que je peux mourir bientôt est ce que j'ai découvert de plus efficace pour m'aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout - tout ce que l'on attend de l'extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l'échec - s'efface devant la mort, ne laissant que l'essentiel.

Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d'éviter le
pi
ège qui consiste à croire que l'on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n'y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.

Il y a un an environ, on d
écouvrait que j'avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j'étais atteint d'une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu'était le pancréas.

Les médecins m'annoncèrent que c'était un cancer probablement incurable, et que j'en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie :

« Pr
éparez-vous à mourir. »

Ce qui signifie dire 
à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les 10 prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille.
En bref, faire vos adieux.

J'ai v
écu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m'a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas
en passant par l'estomac et l'intestin.
J'
étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m'a raconté qu'en
examinant le pr
élèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j'avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie.
On m'a op
éré et je vais bien.

Ce fut mon seul contact avec la mort, et j'esp
ère qu'il le restera pendant encore quelques dizaines d'années.

Apr
ès cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n'était pour moi qu'un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir.

M
ême ceux qui veulent aller au ciel n'ont pas envie de mourir pour y
parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n'y a jamais 
échappé. Et c'est bien ainsi, car la mort est  probablement ce que la vie a inventé de mieux.

C'est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l'ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l'ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d'être aussi dramatique, mais c'est la vérité.

Votre temps est limit
é, ne le gâchez pas en menant une existence qui n'est pas la vôtre.

Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent 
à vivre en obéissant à la pensée d'autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure.

Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L'un et l'autre savent ce que vous voulez r
éellement devenir. Le reste est secondaire.

Dans ma jeunesse, il existait une extraordinaire publication The Whole Earth Catalog, l'une des bibles de ma g
énération.

Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d'ici, à Menlo Park, et il l'avait marquée de sa veine poétique. C'était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l'édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire, des paires de ciseaux et des appareils Polaroid.

C'
était une sorte de Google en livre de poche, 35 ans avant la création de Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d'idées épatantes.

Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth Catalog. Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro.

C'était au milieu des années 1970, et j'avais votre âge.

La quatrième de couverture montrait la photo d'une route de campagne prise au petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l'auto-stop si vous avez l'esprit d'aventure.

Dessous, on lisait :

« Soyez insatiables. Soyez fous. »

C'
était leur message d'adieu. Soyez insatiables. Soyez fous.

C'est le vœu que j'ai toujours form
é pour moi. Et aujourd'hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d'une nouvelle vie, c'est ce que je vous souhaite.

Soyez insatiables. Soyez fous.

    Merci 
à tous. !

Steve Jobs 1955-2011

 Merci Steve!
Le secret du centenaire
Carlos, un de mes amis, a fait une rencontre incroyable au Mexique.

C'était il y a 15 jours, sur un marché. Un vieil homme vendait des jouets en bois.

Ce vieil homme a une particularité:

Il a... 118 ans.

4 fois par semaine, il va vendre les jouets qu'il a taillés lui-même dans du
bois au march
é.

Sa fille a plus de 90 ans et est retir
ée dans un monastère.

Il a demand
é à cet homme son secret.

L'homme lui a r
épondu:

"Cela fait 60 ans que je n'ai pas mang
é de viande. Ni bu d'alcool. Ni autre chose que du thé ou de l'eau.

Mon alimentation est principalement faite de haricots secs et de riz."

Puis il lui a demandé ce qui lui apportait du bonheur dans sa vie.

Son œil a malicieusement 
étincelé- il n'a pas besoin de lunettes pour lire - et il a répondu, sans hésitation:

"Les femmes"
Puis il a expliqu
é qu'il aime leur compagnie, les tortillas qu’elles lui font parfois, et n'en a pas dit plus.

Cela m'a fait penser 
à ce que m'a dit un médecin récemment.

"La moiti
é de ce que nous mangeons est pour nous.

L'autre moiti
é de ce que nous mangeons fait vivre les médecins et les
laboratoires pharmaceutiques."

Et il a ajout
é un autre secret de longévité:

"Petit-d
éjeuner de roi, déjeuner de gentleman et dîner de mendiant".

Ca tombe bien, mon repas favori est le... petit d
éjeuner!
Que vous faut-il de plus pour être heureux, amis lecteurs?

Vous seriez plus heureux si vous aviez plus d'argent, n'est-ce pas?

Et si vous aviez plus de temps, et plus d'amour!

Nous arrivons 
à nous convaincre que notre vie serait meilleure si nous nous marions, avons un enfant, un nouveau travail... Puis nous sommes frustrés parce que les enfants ne sont pas encore assez grands, et que ce serait bien SI...

Apr
ès cela, nous sommes frustrés d'avoir des problèmes avec nos ados. Ce sera tellement mieux quand ils seront plus adultes!

Nous nous disons que notre vie sera compl
ète quand notre mari ou notre femme arrêtera de faire n'importe quoi, quand nous aurons une plus belle voiture, quand nous nous payerons des vacances de rêve, ou quand nous serons enfin à l'âge de la retraite.

Ne remettez pas votre bonheur 
à demain.

La v
érité, c'est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que...

                         MAINTENANT !!!
Si ce n'est pas maintenant, quand y arriverez-vous? Votre vie sera toujours pleine de d
éfis. C'est quand même mieux de l'accepter et d'être heureux DE TOUTES FACONS. Le bonheur est la voie.

Donc appr
éciez chaque moment que vous vivez et aimez-le d'autant plus que vous le partagez avec quelqu'un de "spécial"... le temps ne vous attendra pas.
Cessez donc d'attendre...

** que votre voiture soit pay
ée.

** d'avoir une nouvelle voiture ou une nouvelle maison.

** que vos enfants volent de leurs propres ailes.

** de retourner faire des 
études.

** de perdre du poids.

** de reprendre du poids.

  ** de vous marier.

  ** de divorcer.

  ** d'avoir des enfants.

  ** d'
être enfin à la retraite.

  ** l'
été.

** le printemps.

** l'hiver

** l'automne.

** que la violence cesse.

Il n'y a pas de meilleur moment que MAINTENANT pour 
être heureux.

Le bonheur est un voyage, pas une destination.
Donc...Travaillez comme si vous n'aviez pas besoin d'argent.

Aimez comme si vous n'aviez jamais 
été blessé.

Dansez comme si personne ne vous regardait.

Aimez chaque goutte du temps qui vous est donn
é, souriez, aimez la vie, aimez votre vie, aimez ce que vous faites.
"Si vous aimez et devez éprouver des désirs, faites que ces
  d
ésirs soient vôtres:

 Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une m
élodie à la nuit.

 Eprouver la douleur d'un d
ébordement de tendresse.

Porter la blessure qui n'est due qu'
à votre incompréhension de l'amour, Et à en laisser couler le sang joyeusement.
Vous réveiller à l'aube avec un cœur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée où il vous est permis d'aimer;

M
éditer ensuite sur l'extase de l'amour;
Et revenir chez vous au crépuscule rempli de gratitude;

 Enfin, vous endormir avec en votre cœur une pri
ère pour l'être aimé et sur vos lèvres un chant de louanges." (Gibran)
Qui peut dire si vous avez, amis lecteurs, de la chance ou non ?

Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du château voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.

"Pour moi ce cheval n'est pas un animal, c'est un ami. Comment voulez-vous vendre un ami ?" demandait-il.

Un matin, il se rend à l'étable et le cheval n'est plus là.

Tous les villageois lui disent : "On te l'avait bien dit ! Tu aurais mieux de le vendre. Maintenant, on te l'a volé... quel malchance !"

Le vieil homme r
épond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval revient, avec toute une horde de chevaux sauvages. Il s'était échappé, avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde.

"Quelle chance !" disent les villageois.

Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe 
à l'entraînement.

"Quelle malchance !" disent ses amis. "Comment vas-tu faire, toi qui est d
éjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut plus t'aider !"

Le vieil homme r
épond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"
Quelques temps plus tard, l'armée du seigneur du pays arrive dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles.

Tous... sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cass
ée.

"Quelle chance tu as, tous nos enfants sont partis 
à la guerre, et toi tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se faire tuer..."

Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

« Le futur nous est livr
é par fragments. Nous ne savons jamais ce qu'il nous réserve. Mais une expectation positive permanente nous ouvre les portes de la chance, de la créativité, et nous rend plus heureux.

  --------------------------------------------------------------
"Souvenez-vous que le bonheur dépend non pas de ce que vous êtes ou de ce que vous possédez, mais uniquement de votre façon de penser."
  Dale Carnegie

"Le contentement apporte le bonheur, m
ême dans la pauvreté.
  Le m
écontentement apporte la pauvreté même dans la richesse."
  Confucius
Les marins et les marchands
De riches marchands embarquent à bord d'un navire avec leurs biens, leurs esclaves et leur orgueil d'hommes à l'abri de tout besoin.

Les marins portent leurs malles remplies de bijoux, d'or et de riches 
étoffes alors qu'eux n'ont pour tout bagage qu'un méchant sac vide et une vieille couverture.

Mais la mer se fait d'huile et le vent n'est pas d
écidé à se lever.

A bord, les marchands se conduisent comme s'ils commandaient aux Dieux eux-m
êmes en pestant contre les astres, en regrettant que le vent ne souffle pas avec plus de force et en humiliant les marins qui ne "connaissent rien à l'art de la navigation".

Tant et si bien que les Dieux finissent par les entendre et décident de répondre à leurs vœux en envoyant une terrible tempête pour les punir.

Les nuages noirs s'amassent 
à l'horizon et le vent s'annonce par petites rides de plus en plus rapprochées sur la surface de la mer. Les marins comprennent qu'ils vont vivre de terribles heures et se tiennent prêà leurs postes, tandis que les riches marchands, heureux que les Dieux les aient entendus, raillent la couardise de l'équipage.

Au pire de la temp
ête, les marins s'aperçoivent qu'ils ne pourront pas s'en tirer sains et saufs sans larguer du lest.

Soucieux de sauver leur navire, ils n'h
ésitent pas à passer les bagages les plus lourds par-dessus bord. Mais les riches ne l'entendent pas de cette oreille et s'accrochent à leurs malles comme si c'était elles qui allaient les sauver.

Ils supplient les Dieux de les épargner et pleurent comme des enfants.

Le capitaine du bateau est forc
é de menacer d'en jeter quelques-uns à l'eau avec leurs coffres pour qu'ils acceptent de se séparer de leur or.

L'
énorme poids ainsi libéré, le navire retrouve sa stabilité.

La temp
ête se calme aussitôt et l'équipage est sauvé. Les marins sont heureux mais les riches marchands restent silencieux : avec leur richesse, c'est leur vie qu'ils croient anéantie.

Qu'est-ce qui est le plus important : nos biens ou notre vie? Trop souvent, pour nos biens mat
ériels nous mettons notre santé en péril.
Nous consacrons notre vie 
à l'argent, et la vie nous file trop vite entre les doigts.

Comment gagner notre vie... sans la perdre?

A l'image de ces marchands, moins nous avons de bagages 
à porter, plus notre fardeau sera léger... et moins la tempête sera redoutable.
  ....................................................................
« Celui qui perd la richesse perd beaucoup. Celui qui perd un ami perd
  davantage. Mais celui qui perd courage perd tout. »
  Cervantes
L’or, le métal le plus précieux
L'or est le métal le plus précieux au monde parce que c'est aussi l'un des plus rares. Cependant, on ne ramasse pas d'or pur en se baissant, jamais on ne trouve une pépite étincelante, cachée comme un œuf de pâques entre les herbes. 

L'or est là, il existe, la terre le produit sans effort, mais c'est à l'homme de le dégrossir, d'en révéler la beauté. 
 
Comment ? Par l'épreuve du feu. Pour débarrasser l'or de ses impuretés naturelles, on le brûle. La matière ainsi calcinée se trouve purgée de ses imperfections.

Même chose pour le diamant : sachez que 250 tonnes de
minerais sont nécessaires pour obtenir un diamant d'1 carat ! Et encore, une fois arraché à la terre, il devra être poli et taillé...
 
Ainsi, la nature contient des trésors, mais c'est à l'homme de travailler sur les éléments bruts pour en façonner la beauté.
 
  ..........................................................
 
Avez vous pensé que vous étiez comme l'or ou un diamant brut ? La nature vous a gâté : elle a fait de vous une beauté à l'état brut, mais elle a créé en même temps les épreuves qui vous permettront de façonner votre véritable identité, de vous purifier. Rien ne forgera votre caractère ou affermira votre identité autant que l'adversité.
 
A vous de trouver le degré de chaleur nécessaire pour faire fondre les impuretés qui entravent votre beauté ?
 
Personne n'investit sans espérer un retour sur son investissement. A vous de faire le nécessaire pour protéger l'investissement que la nature a fait en pariant sur vous !
 
  ..........................................................
 
« (...) si tu ne vois pas encore la beauté en toi, fais comme le sculpteur d'une statue qui doit devenir belle ; il enlève une partie, il gratte, il polit, il essuie jusqu'à ce qu'il dégage de belles lignes dans le marbre" ~ Plotin
Solipsisme
Deux étudiants débattent avec véhémence sur le parvis de la faculté, au pied du drapeau : 

- Mais tu vois bien que c'est le vent qui bouge réellement et qui, dans son mouvement, fait claquer le drapeau. D'ailleurs ne dit-on pas, le pavillon  claque au vent ?
 
 - Tu as tort. C'est le drapeau qui bouge. Puisque tu ne vois pas le vent, comment peux-tu en conclure que c'est lui qui agit sur le drapeau ?
 
Le professeur de philosophie qui passait par là, surprit la conversation animée de ses deux élèves et vint les voir en tirant sur sa pipe.
 
Désolé d'ajouter à votre embarras messieurs, mais veuillez considérer l'argument suivant : c'est votre esprit qui claque et qui bouge.
 
  ..........................................................
 
 Que veux dire par là le professeur ? Est-ce une réponse au problème des deux étudiants ? Oui. C'est même une profonde vérité morale : rien n'est tel que nous le voyons car c'est peut être notre esprit qui crée tout ce que nous voyons au moment même où nous le voyons. Ainsi, il n'y a d'autre réalité que nous-mêmes. 

Cette théorie, qui porte le nom de solipsisme, est doublement utile au sage : d'une part elle le prévient contre les apparences trompeuses ; d'autre part, elle lui indique un chemin vers la connaissance de soi. En effet, si la marque de mon esprit est sur toute chose (est toute chose), alors, étudier le réel revient à étudier mon être propre.
 
  .........................................................
  
"La réalité n'est qu'un point de vue." ~ Philip K.Dick  
quoi servent les Maitres
- Maître, à quoi sert un Maître demanda, dans toute sa juvénile candeur, le moinillon au Père D'Evry
 
Ce dernier sourit et répondit :
 
- A rien et à tout... c'est lui qui t'enseigne ce que tu sais déjà, qui te montre ce que tu as déjà vu."
 
Ces paroles emplirent le disciple de confusion.
Il réfléchit intensément et fronçant les sourcils, demanda :
 
- Mais, Maître : à quoi peut me servir celui qui m'apporte ce que j'ai déjà ? Voulez vous dire que le Maître est inutile au disciple et que je suis à moi-même mon propre guide ?
 
- "Non, pas exactement. Considère cet exemple : n'as tu jamais été captivé par une toile de Maître ?
 
- Si, je me souviens d'un tableau accroché au dessus de l'autel, dans la Chapelle de monsieur mon père.
Un magnifique coucher de soleil peint par un artiste italien de renom... dont j'ai d'ailleurs oublié le nom !
  
- Qu'est ce qui t'intéressait tant dans ce tableau ?
 
- Je ne sais pas... la finesse des détails, les couleurs, une impression générale. Comme si j'avais devant moi un modèle de coucher de soleil.
 
 - Mais n'as tu jamais vu auparavant de coucher de soleil ?
 
- Bien sûr que si, mais en moins réel.
 
  ........................................................
 
Souvent, nous ne comprenons pas quelle valeur peut avoir un guide, un maître et nous refusons à quiconque le droit d'en savoir plus que nous. Pourtant, ces personnes plus intelligentes, plus douées, plus complète que nous, sont de formidables leviers pour nos vies.
 
L'artiste du texte, par sa peinture, a appris au moinillon à voir ce qu'était réellement un coucher de soleil. Il a attiré son regard vers l'essentiel. Sa peinture est certes une reproduction, mais le moinillon y a trouvé plus de vérité que dans les couchers de soleil "naturels" qu'il regardait sans les voir.

Un maître, par ses enseignements, nous apprend à considérer en pleine lumière ce que, confusément, nous savons déjà.
 
  ........................................................
 
 "Si vous possédez une connaissance, laissez les autres y allumer leur chandelle." ~ Margaret Fuller 
Succès ou Echec !
S.V.P, lisez cette phrase et notez vos réactions :

«La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.»
(Albert Einstein)

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais cette pensée déclenche en
moi un - désir d'agir -.

- Chaque jour, est une Occasion d'avancer vers votre idéal !

- Chaque heure est l'occasion d'édifier votre vie suivant vos aspirations !

- Chaque minute est une formidable Chance pour évoluer vers ce qui vous motive.

Ayez en tête cette image du vélo qui ne tombe pas quand il avance.

# "Adoptez la stratégie vélo"

Personnellement, je l'ai toujours en tête. Elle m'a réussi jusqu'ici remarquablement.
 Une idée que vous voulez concrétiser, n'a rien d'inerte.
Au contraire !

C'est une "entité" vivante.

Or, pour subsister, le vivant à besoin de : MOU-VE-MENT.
J'en conviens ce n'est pas forcément la démarche la plus évidente.
 Attendre que les choses changent risque de vous offrir des désillusions.
 Alors la "stratégie vélo", certes, demande de l'énergie, mais vous aurez de grande chance de voir des changements et des progrès convoités dans votre vie.

**************************
« La luciole brille quand elle vole. Devenez Luciole en agissant ! »
L'écho de la vérité
Avant que le monde ne se vide de ses dieux, il existait dans une lointaine contrée, une montagne sacrée dont l'écho rendait le son de la vérité. Il suffisait de se dresser face à elle et de confier aux vents violents les secrets de son cœur ou de lancer les énigmes les plus impénétrables dont les réponses revenaient bientôt s'élevant de la masse pierreuse en un écho assourdissant.
 
Ce jour là, 3 hommes de religions différentes décidèrent de se rendre au pied de la montagne sacrée. Une querelle d'importance les opposait depuis bien longtemps: quel Dieu est le bon? Quel Dieu doit-on craindre? Quels textes religieux faut-il vénérer? 
 
Pour convaincre ses deux interlocuteurs sceptiques, que seul son Dieu mérite d'être révéré, le Chrétien se dresse fièrement au bord du précipice et crie:
  
"Montagne sacrée, fais que ton écho me donne raison!
N'est-il pas écrit dans la Bible qu'Il est notre seul seigneur?"
 
Au bout d'une minute, les vents se font plus violents et l'écho gronde une réponse: "Tu dis vrai, Chrétien, il n'y a qu'un seul Dieu. C'est celui que tu vénères".
  
Satisfait, le Chrétien se tourne vers les deux autres: "Ne vous l'avais-je pas dit?"
 
"Impossible ! Rétorque son compagnon juif, c'est la Tora qui renferme la vérité." 

A son tour il s'avance au bord du gouffre et lance :
 
"Echo, pourquoi ne leur dis-tu pas que c'est moi qui suis le vrai croyant ici ? La Tora dit "Écoute Israël, l'Éternel est notre Dieu, l'Éternel est un" ?
 
Et l'Echo répond: "C'est vrai. Dieu est unique et c'est lui que tu adores".
 
"Fils de mécréants s'insurge soudain le frère musulman, c'est mon écho qui aura le dernier mot."
 
Il gonfle sa poitrine et hurle: "Echo, je te somme de dire la vérité. N'est-ce pas moi qui suis dans le vrai et mes frères dans le péché car le Coran dit : 
"Il n'y a pas de dieu en dehors de Dieu"!
 
Pour la troisième fois, l'écho rendit le son du vrai: "Précisément, il n'y a pas d'autre Dieu que celui que tu viens de citer".
 
Mais les 3 hommes restèrent muets. Comment l'Echo - qui dit toujours la vérité - pouvait-il assurer que leur dieu respectif était le seul vrai Dieu ? Pas question de repartir sans exiger une dernière explication.
 
L'un d'eux alors se risqua et invoqua l'Echo en ces termes: "Tu ne peux nous tromper ainsi, Echo. Il faut, pour que nos cœurs soient apaisés, que la vérité se fasse ".
 
Pour la dernière fois, la montagne résonna et l'Echo, porté par les vents assourdissants vint frapper les 3 paires d'oreilles :
 
 "Hommes! Quand comprendrez-vous que vous adorez le même Dieu depuis le début des temps et qu'il ne prend la parole que pour vous dire à tous la même chose.  Vous êtes comme le sourd qui accuse celui qui parle de ne pas le faire assez fort..."
 
  .........................................................
"Quiconque honore sa religion et condamne les autres nuit gravement à sa propre religion". ~ Shafique Keshavjee
Le the contre l'épée
Un domestique, dans l'antique Chine, laissa accidentellement tomber une goutte de thé sur le soldat qu'il servait. Confus, il s'excusa, mais le soldat était vexé : "Demain, chien, tu viendras te mesurer à moi. Je te donnerai une arme et l'on verra bien si tu es aussi doué avec l'épée qu'avec le thé !"

Le domestique n'avait bien sûr aucune expérience du combat. Il alla donc demander conseil à un ami, le maître Ketaïo.

Ce dernier l'observait alors qu'il servait le thé. Il remarqua le front du domestique, parfaitement lisse, et l'intense concentration qui se dégageait de tous les traits de son visage alors qu'il faisait couler un mince filet de thé dans les bols, sans qu'aucune goutte ne tombe à côté.

-"Demain, lui dit Ketaïo, tu devras tenir ton sabre au dessus de ta tête, comme si tu étais prêt à frapper le soldat. Regarde-le bien en face, avec cette détermination et ce calme que tu atteins lorsque tu me sers le thé."

Le lendemain, au petit matin, le domestique suivit les conseils du maître. Le soldat était prêt à combattre mais il se tint sur ses gardes : il observait le domestique, stable sur ses appuis, serein. Il vissa son regard dans le sien et, après un long moment, le soldat abaissa son arme, s'excusa pour son arrogance et quitta les lieux sans se retourner.
.............................................................
Que nous apprend ce petit conte ? Que dans la plupart des situations, le calme et la concentration sont des atouts essentiels : vous ne résoudrez peut être pas tous les problèmes ou les conflits avec cette technique, mais vous forcerez au moins l'estime de vos collègues ou de vos proches.

C'est le courage et la détermination du domestique qui ont stoppé les ardeurs du soldat et non la technique du sabre ou la violence.

.............................................................

"Si vous êtes perçu comme compétent et capable, vous serez
perçu comme un égal". ~ L. Von Gruht

C'est vous qui tirez les ficelles de votre vie, amis lecteurs…
L'arbre A Réaliser Des Souhaits
 Albert Isel 
            
"Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser des Souhaits".

Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.

Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.

« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.

L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire.

« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »

Un tigre surgit aussitôt et le dévora." Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.

Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.
Mais, il ne suffit pas d'espérer quelque chose pour l'obtenir. C'est plus complet que cela. Mais c'est l'espérance qui pousse à l'action, et la réussite d'objectifs progressifs qui motive à persévérer.
Il faut que vous ayez une vision claire de ce que vous voulez obtenir :
-  Il faut savoir ce que l'on veut vraiment. Trop souvent nos désirs sont vagues, imprécis, mal formulés.
-  Il ne suffit pas d'espérer, il faut demander sans se préoccuper du fait que cela peut paraître "impossible", sans notre "Arbre à souhaits"; c'est-à-dire dans une situation où notre subconscient est réceptif.
-  Il vaut mieux éviter les pensées négatives !
La mort de mon père
J'ai eu la douleur de perdre mon père il y a quelques années, des suites d'une opération chirurgicale qu'il n'a pas supportée.
 
Ça n'a pas été facile d'accepter son absence. Il était un modèle, un contre-modèle, et même si il a été dans mon enfance un père déficient, je lui ai pardonné.
 
Nous étions de vrais amis. Il me donnait de la force. J'ai réussi, peu ou prou, à être ce que je suis, sans lui, mais aussi grâce à lui.
   
Il y a peu de temps, j'ai fait un rêve étrange. Je ne sais pas si un songe peut être un "messager" de l'au-delà. Mais je vous livre tout de même son contenu, parce qu'il m'a aidé à mieux vivre par la suite et qu'il peut peut-être apporter un réconfort (une réponse ?)  à toutes les personnes qui ont perdu un proche.
   
Dans ce rêve, je marchais sur la plage avec mon père. À chaque pas, j'avais comme des flashes de ma vie passée, des épisodes heureux de mon enfance, des tracas aussi, des moments forts, des éclairs de confiance, des bouffées de chaleur humaine.
   
À chacune des scènes, triste ou joyeuse, correspondait une série d'empreintes de pas dans le sable : les miennes et celles de mon père.
   
La dernière partie de notre balade était accompagnée de flashes particulièrement douloureux : la maladie, la mort, la perte, la détresse, etc...
               
Alors, je me suis retourné et j'ai vu une seule série d'empreintes dans le sable : les miennes.
   
Effondré, je demandais à mon père : "Tu m'avais dit que tu serais toujours là, même dans les pires moments de ma vie. Pourtant, quand je regarde le chemin parcouru, je vois bien que j'ai vécu récemment des passages  vraiment difficiles tout seul.
 
Tu n'étais pas à mes côtés ! Où sont passées tes empreintes ? Qu'est ce que cela signifie ? Que tu m'abandonnes quand j'ai le plus besoin de toi?"
   
Alors mon père répondit : "Même si je ne fais plus partie de ce monde, je t'aime et je ne t'ai jamais quitté. Pendant toutes ces épreuves, quand tu voyais une seule série d'empreintes de pas, ce n'étaient pas les tiennes, mais les miennes : je te portais dans mes bras."
   
Même quand nous pensons être seuls, nous sommes accompagnés. 

D'une certaine manière, les personnes qui ont compté pour nous dans la vie et qui disparaissent laissent derrière elles une empreinte. Ce sont les signes de leur présence et de leur "réalité" dans notre monde : elles continuent de vivre à nos côtés, par nous et en nous.
   
Notre éducation, nos habitudes, nos manières de penser sont souvent les héritages légués par ces personnes. Ce sont autant d'armes pour affronter les moments difficiles de la vie.

 « Il y a plus de morts que de vivants, ce sont les morts qui dirigent les vivants ». 
Auguste Comte
La jarre abîmée
Un porteur d'eau indien avait 2 grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.
   
L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
 
Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. 
 
Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.
   
Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
 
Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. 
 
"Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
 
"Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"
 
"Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau.
Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée.
 
Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit : "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin".

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.
 
Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendue compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti.
 
J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.
   
Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses."
 
Morale de l'histoire : Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.

Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.
 
Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous!

Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.
 
Merci d'apprécier amicalement mes imperfections - et, plus
  important pour vous - d'apprendre à aimer les vôtres,  :)
 
  .................................................................

"Le fou cherche le bonheur au loin, le sage le cultive à ses pieds".
  « James Oppenheim »

"L'expérience n'est pas ce qui nous arrive. C'est ce que nous faisons de ce qui nous arrive".
  « Aldous Huxley
 »


Extrait de l’Ouvrage : « Les Cailloux : Motivations Positives » en promo sur www.unibook.com ou www.thebookedition.com.
You'll love it lol...jus get it now.....